Promise

J'ai rajouter quelques p'tits trucs =)

Promise Promis11

I - Personnage
Nom : Promise
Race : OI avec
un peu d’Arabe (arrière grand mère)
Sexe : Jument
Age : 4 ans le
15 août 2009

Troupeau : Eté
Caractère : (minimum 3 lignes complètes)

Pour ce qui est de mon caractère, j’en ai ! Je ne me laisse pas faire mais ma timidité m’empêche parfois de me rebeller, de peur de faire mal physiquement ou moralement ! Je suis franche contrairement à beaucoup, je préfères dire aux autres ce que je penses d’eux devant leur yeux, parce que je trouves que casser du sucre sur quelqu’un c’est nul, c’est lâche. Et je ne suis en aucun cas lâche ! Et même, on a bien le droit de dire ce qu’on pense ! Sinon, je suis plutôt gentille quand la personne qui est face à moi est sympathique ! Je m’adapte souvent au caractère de l’autre, ça m’évite parfois de me faire rejetée comme je lui suis si souvent ! Je n’aime pas spécialement la solitude mais je m’y suis habituée, depuis le temps qu’on me laisse seule je ne pouvais que m’habituer sinon, je pense que je ne serais plus de ce monde ! Je suis quelqu’un qui est ouvert aux autres et pour moi, l’amitié est quelque chose de sacrée qu’il ne faut pas détruire sous aucun prétexte. J’allais oublier de vous dire quelque chose ! Si vous voulez gagner ma confiance, et bah soyez patient, je ne la donne à peu de monde !

Physique :

Alors comme je vous l’ai dit un peu avant, je suis noire et zain, donc ma robe est vraiment pure ou impure, comme vous voulez, car certains disent de moi que je suis obscure et maléfique à cause de ma robe. Mes membres sont longs et fins, du coup, ils me donnent une élégance rare. Ma queue ?! Je la porte souvent en panache, peut être dû à mes origines. Elle est très fine avec de longs crins, mais ils ne touchent pas le sol ! J’aime pointer mes oreilles, ça me donne un air sympathique et du coup, on me fuit moins ! Mon corps ainsi que ma tête sont fins et courts. Cette corpulence me va bien car je suis petite. Je mesure un mètre quarante cinq d’après les Hommes, et d’après ce que j’ai compris de ce qu’ils disent, je ne suis pas une jument mais une ponette ! Je ne sais pas si je dois le prendre comme un compliment ou non ! Ma crinière n’est pas très longue et peu touffus. Elle vole légèrement lorsque je galope et quand je m’ébroue. Mon toupet n’est pas devant mes yeux ce qui me permet de bien voir les choses ! Les étalons me trouvent souvent mignonne, ils disent surement ça pour me faire plaisir parce moi, je ne me trouve rien d’exceptionnel !

Histoire : (post suivant xP)

Particularités : Je suis zain (donc je n’ai pas un poil blanc).

II - Membre
Prénom : Marie
Age : 14 ans =)
Localisation : Devant l'PC x)

III - Autre
Comment trouvez vous le forum ? red

Comment l'avez-vous connu ? red

Serez-vous actif ? Oui
Code(s) d'activation : Je les remets pas ?!

Histoire :

Je suis née un certain 15 août 2004, dans un petit ranch qui reprenait les méthodes des cow-boys et où l’on utilisait beaucoup l’équitation éthologique ! Le deuxième rêve de tout les chevaux après la liberté et la vie sauvage ! Sauf que je ne suis pas tombée dans le ranch de rêve, finalement ! Alors, comme je le disais précédemment, je suis née le 15 août 2004, dans un petit box au sol recouvert de paille. Pour tout vous avouez, je n’ai pas tout compris de ma naissance ! J’étais tranquillement dans le ventre de ma mère que les Bipèdes nommaient Melody. On disait d’elle que c’était la meilleure jument du ranch, donc on l’avait fait saillir avec un bon étalon, mais l’étalon en question était un cheval sauvage. Un étalon de rodéo au fort caractère, ils voulaient surement que j’ai un caractère bien trempé et je pense aussi qu’ils voulaient que je sois un étalon à la robe bai ou pie, un peu genre mustang. Mais ça ne fut pas le cas ! Quand je sentis la forte pression que fit ma mère pour me faire sortir de son ventre, j’eu très mal. Elle aussi je suppose ! Et en l’espace d’une seconde, je me retrouvai expulsée dans un endroit froid. Maman me lécha et me fit un sourire avant de me murmurer à l’oreille quelques choses comme « Bienvenue sur Terre Promise ! » Je lui renvoyai un sourire accompagner d’un petit hennissement très peu audible pour lui dire que j’avais compris ! Puis, elle me débarrassa de la poche qui m’entourait et m’incita à me lever pour que je boive au plus vite le lait maternel. Elle m’aida à me redresser en me laissant m’appuyer sur elle. Cinq minutes après ma naissance, je me levai pour la première fois de ma vie. Mes longs membres noirs tremblaient comme je ne sais quoi ! J’essayai de faire un pas en avant, mais mes jambes se plièrent d’un seul coup et je tombai. A chaque fois que je tombai, j’essayai de me relever et de marcher de nouveau, mais je tombai à chaque fois. Petit à petit les Hommes arrivèrent devant le box et observèrent, ils regardaient ma mère et moi. Alors, au début je les regardai de mes grands yeux. C’était qui eux ?! Rapidement, ma mère m’expliqua, et alors, je compris mieux ! Puis, après m’être un peu reposer et avoir observé ces bipèdes étranges qui parlent sans arrêt sans que l’on puisse trop comprendre ce qu’ils disent, je tentai de nouveau de me redresser ! Et cette fois si, avec succès ! Je poussai un grand coup sur mes membres et me redressa, puis, j’essayai de faire un pas ! MIRACLE ! Je ne suis pas tombée ! J’essayai d’en faire un autre, et j’arrivai, alors, toute contente d’avoir enfin réussit à marcher, j’allai d’instinct vers les mamelles de ma mère, qui me regarda boire toute émerveillée, j’étais son premier poulain ! Je restai quelques minutes à boire le liquide blanc et si bon, puis, alors que j’entendis un bruit, je regardai en arrière et vit la porte du box s’ouvrir. Je ne comprenais pas, les Hommes entraient dans le box. L’un d’eux m’attrapa par la croupe et me tira en arrière pour que je recule, ce que je fis contre mon gré ! Mais comme maman ne disait rien, je me suis dit qu’ils n’allaient pas me faire de mal ! Alors, un des Hommes me posa un truc lourd sur la tête, comme maman avait. On appelle ça un licol je crois ! Puis, ils commencèrent à me manipuler dans tous les sens, et moi, je ne comprenais toujours pas. Puis l’un d’eux dit quelques choses comme « Roo, non ! C’est une femelle ! » Après avoir regardé sous ma queue. Bah oui j’suis une fille et alors ça te gène, pensai-je ?! Et puis pour qui il se prenait de regarder sous ma queue, alors, je baissai un coup sec la queue, et je les entendis rigoler. Puis, après m’avoir longuement manipulée, ils partirent. Et alors, je m’endormis aux côtés de ma mère.

Je me réveillai le lendemain avec le soleil. Quelques rayons passaient par le petit trou dans le mur que l’on avait en guise de fenêtre. Cette lumière vive me faisait mal aux yeux, du moins, au début, après, je m’y habituai et plutôt rapidement je dois dire ! J’entendis de nouveau un bruit, celui des Hommes, ils rentrèrent directement dans le box cette fois et attachèrent une corde au licol de maman. Ils la sortir du box, puis, attrapèrent mon licol et me firent garder des distances avec maman, ce que je ne voulais pas. Alors je tirai de toutes mes forces, mais ça ne servait à rien, juste à me fatiguer, alors, j’abandonnai. Puis, ils nous lâchèrent dans un grand enclos avec de l’herbe par terre. Il y avait d’autres juments avec leur poulain. Alors, je jouai avec eux pendant que maman parlaient avec les autres juments. Les poulains étaient un peu plus vieux que moi, sauf un petit poulain pie qui était né le même jour que moi. Je passai l’après-midi avec les autres, et le soir, retour au box, toujours tenu par le licol et lâché de nouveau dans le box. Et tous les jours c’était comme ça ! Je passai une partie de ma journée au box et l’autre au pré pour revenir ensuite passer la nuit au box. En plus, je m’étais fait pleins de copains et de copines alors en faites c’était plutôt cool, malgré les bipèdes un peu trop direct ! Puis je grandis, et tant dis que tous les autres poulains noirs changeaient de robe pour adopter un joli bai ou un alezan séduisant, moi je restais noire. Entièrement noire, sans un seul poil blanc ! Et là, ma vie commença à devenir pourrit ! Commençons déjà par les Hommes ! Ils ne voulaient plus me garder à cause de cette robe, et puis, les juments interdisaient à leur poulain de venir avec moi, en disant que j’avais la robe du diable et qu’il ne fallait pas me côtoyer car j’étais dangereuse pour eux ! Alors, au pré, je me retrouvais désormais toute seule, les autres poulains se moquaient de moi, leur mère m’insultait, les Hommes ne s’occupaient plus de moi, me laissant dans un coin. Désormais, seule ma mère était avec moi et je m’en voulais, car désormais, elle ne voulait plus parler aux autres, car sinon, elle me laissait seule, mais elle n’arrêtait pas de me dire que ça n’était pas ma faute, que je n’avais pas choisit ma robe et tout, mais je ne pouvais pas oublier comme ça, tout ce qu’on endurait toute les deux ! Je continuai de grandir, et je ne changeais toujours pas de robe, j’étais toujours seule, ma vie était toujours aussi nulle, aussi pourrit, et en plus, comme si ma robe n’avait pas suffit, j’étais petite, je n’étais même pas une jument, juste une ponette. Je ne sais pas si c’est mieux ou moins bien d’être une ponette, mais je savais que dans ce ranch, c’était moins bien, beaucoup moins bien parce que les autres se moquaient de moi à cause de ma robe et de ma taille, ils disaient que j’étais une envoyée du diable, et je ne pouvais pas me défendre, par peur ! La peur de faire mal que ce soit physiquement ou moralement ! Et pourtant, eux ne se souciaient pas de mon mal à moi et continuaient de m’enfoncer !

Puis arriva l’âge de mes six mois, une partie très dure de ma vie. Comme dans tous les ranchs, centres ou élevages, à six mois, les poulains sont sevrés et donc séparés de leur mère. Et pour moi, ce jour arriva trop tôt, j’aurais même aimée qu’il n’arrive jamais, mais bon, c’était la vie et elle ne semblait pas vraiment m’aimer cette vie ! Alors, les Hommes virent me chercher moi, et pas ma mère, alors, elle comprit et m’expliqua vite fait. Elle m’expliqua en pleurant, elle savait déjà ce qui allait se passer pour moi et ne pouvait rien faire. Alors, les Hommes m’amenèrent dans un nouveau pré avec les autres poulains, alors je compris, mais avant de sortir de l’écurie, maman m’avait crié « Soit forte ma fille ! Je t’aime ! » Alors, lorsqu’ils venaient me voir dans le but de me blesser et de me faire pleurer, je retenais mes larmes, pour maman et pour moi. Je passai des moments compliqués, j’étais toujours seule. De temps en temps, maman passait devant l’enclos alors, j’allais la voir, et je lui parlais le plus longtemps possible, mais à chaque fois les Hommes la faisaient avancer plus vite, pour ne pas qu’elle s’arrête. Et quand elle repartait, je pleurai intérieurement. Quand on se dit que tout ça c’était à cause de ma robe ! Juste à cause de mon physique ! Un jour, maman réussit à sortir de son box car il était mal fermé, alors aussitôt, elle vient à la barrière alors, sans réfléchir, je pris mon élan et sauta la barrière, à un endroit où elle était un peu moins haute car elle était un peu cassé. J’étais fière de moi, je n’avais jamais sauté de ma vie, malgré mes un an, alors, je rejoins ma mère. Je passai la nuit avec elle, à parler. Elle me soutenait comme elle pouvait, et je le savais. Le lendemain matin, les bipèdes nous virent ensemble, alors, retourna au box, comme ça, mais moi, comme ils ne m’aimaient pas, j’eu le droit à tous les types de punissions ou presque, que se soit moralement ou physiquement ! Puis, ils me remirent au pré.

Les années passèrent et je restais avec les autres, que se soit dans le même pré qu’eux ou dans les mêmes écuries, heureusement dans des box différents. J’étais en permanence avec eux, et ils continuaient de me laisser seule et de se moquer de moi, de dire que j’étais l’envoyer du diable et qu’il fallait me tuer… Et tous les jours, j’en voyais quelques uns sortir du pré pour apprendre à porter la selle et devenir un cheval de concours, un cheval chouchouté, aimer (…) et moi je n’avais pas le droit à cela, surement car je n’étais pas comme ils voulaient, mais ça n’était pas ma faute ! Je n’y étais pour rien moi ! Mais ils ne voulaient rien savoir ! Puis, un jour, lorsque j’avais trois ans et demi, ma mère passa de nouveau devant mon enclos, elle avait entendu les Humains dirent des choses sur moi et à force de les côtoyer, elle comprenait plus ou moins ce qu’ils voulaient dire. Et là, elle savait qu’ils ne me voulaient pas du bien, alors elle me fit les yeux en larmes « Ma fille, cette nuit tu sauteras la barrière et tu iras vivre en liberté, tu seras libre et peut être que les chevaux sauvages, eux seront gentils avec toi ! Et ne t’inquiètes pas pour moi ! Si j’y arrive, un jour je te rejoindrais ! Je t’aime ma fille et n’oublis jamais ça ! Promet le moi ! » Alors, je hennis un coup en lui disant que je lui promettais, je ne l’oublierai ! J’henni de nouveau pour lui dire à elle aussi « Je t’aime maman ! » Je ne réfléchi pas. Elle m’avait demandé de partir, c’est qu’il y avait une bonne raison !

J’attendis que les bipèdes rentrent chez eux et que les autres poulains dorment pour sauter la barrière qui était au fond du pré. Je parti au galopa vers le pré dans lequel se trouvait ma mère. Elle ne dormait pas. Elle savait qu’elle ne devait pas dormir. Alors j’allai la voir, on ne parla que peu, puis, elle me fit « Au revoir ma Promise ! Je te rejoindrais dès que je pourrais. Galope droit devant toi, travers les forêts et les plaines, et ne t’arrête pas, et ne t’inquiète pas, je te retrouverais où que tu sois ! » Alors, je lui répondis, les yeux en larmes « D’accord maman. Et je t’attendrais là-bas. Et j’espère de tout mon cœur que les chevaux qui vivront là-bas seront gentils ! » Soudain, dans la maison des Humains, une lumière s’alluma, on avait fait trop de bruit, alors, ma mère avait poussé un hennissement pour me dire de partir tout de suite. Alors, je parti au grand galop, le plus vite que je pouvais. Mes foulées étaient longues pour galoper plus vite. Et pendant plusieurs jours je galopai. M’arrêtant de temps en temps pour dormir, manger et boire. Les premiers chevaux que je rencontrai étaient ‘méchants’. Eux aussi disaient que j’étais une envoyée du diable, et tous les chevaux que je croisai étaient comme ça, alors, je restais seule et m’habitua à avoir pour seul et unique compagnon la solitude. Je marchais longtemps, à la recherche d’une terre sur laquelle il n’y aurait pas de chevaux, du moins si c’était possible ! Alors, à force d’airer, j’arrivai ici, sur les terres sauvages de Wynter. Il y avait peut être des chevaux, mais pour le moment je ne les avais pas rencontré, et je n’étais pas presser de faire leur connaissance, à moins que eux, ne me jugent pas sur ma robe couleur de l’enfer, de la nuit, et du diable. En arrivant ici, j’espère trouver des chevaux différents de ceux que je connais ! De chevaux honnêtes et justes ! Des chevaux un peu comme moi quelque part ! Je l’espère de tout mon cœur car après avoir vécu seule, mais quand je dis seule c’est vraiment seule, sans ma mère, pendant six mois, vous n’êtes plus vraiment le même ! Six mois pendant lesquels je me suis plus ou moins renfermer sur moi-même, six mois pendant lesquels je me suis habitué à cerner les autres rapidement ! J’espère de tout mon cœur que les terres de Wynter sont différentes des autres.

Hate de RP avec elle =)