( Petite parenthese, dans le proloque & premier chapitre la première personne du singulier désigne la mère. ) PROLOQUE Le soleil tapait doucement sur nos peau rosâtre. L'herbe venait à peine d'être arroser par la rosé du matin. Je regardais le paysage de ma place où j'étais et quand je pris le pas, mes sabots résonnèrent dans la grotte où j'avais passer la nuit accompagner de mon amant. Je m'arrêta en plein milieu de ce champs d'herbe et ma langue lécha doucement l'herbe. J'en arrâcha une avec douceur et laissa un petit rouronnement doux s'en poursuivre. Je m'ébroua avec délicatesse en plein soleil et me laissa tomber sur le sol pour me rouler. J'entendis les bruits de pas de
Insane et je me releva doucement en restant coucher puis je lui adressa un magnifique sourire qui me rendit. Il partit dans un petit trot me rejoindre et me lécha avec une délicatesse imaginable. Je frottas ma tête contre son portail et fermis les yeux de bien être lâchant un petit soupire. Je me leva tranquillement et comme on avait décidé je lui lâcha mes chaleurs à plein nez et piaffa sur place. Je n'avais pas besoin de tourner la tête, je le sentais ce cabrer pour retomber sur mon dos avec douceur. Dans ce moment magique on ne fessait plus que un avec la personne. J'hénnissa de douceur et de bonheur et il me lécha mon garrot. A la troisième sémence il s'arrêta et viens ce placé devant moi ou il frotta sa tête contre la mienne. Un sourire illumina mes lèvres et lâcha un petit son.
« On va être parents. » Il me souria et on prit le pas pour partir dans l'endroit tout en s'amusant...
Au bout de plusieurs long mois d'attende et de fatigue mon ventre était devenu bien énorme. On ce demandait même si on n'attendait pas des jumeaux. C'était notre première fois, à tout les deux. J'étais plus que heureuse, il prenait soins de moi. Mais ce jour là tout bascula. Il était partit pour me chercher quelque petite chose insignifiante que je n'avais pas besoins. Je m'étais installer doucement dans l'herbe tendre encore mouiller par la rosé du matin mais au bout d'une heure, je m'inquiètais. Il ne pouvait pas m'avoir abandonner d'un seul coup. Je me leva doucement avec quelque petit gemissement de douleur car la fin arriver dans bientôt et je pris un pas doux mais lent. Je cria son nom dans tout les coins mais rien, aucune réponse. Je m'aventura alors dans un petit santier et au bout de dix minutes de marche je le trouva. Oui, je le trouva mais pas seul. Un sentiment de trahisson me prit dans ma pointrine. j'eu soudain eu l'envie de vomir pour tout ce que on avait fait ensemble. Je le regarda encore et encore. Les yeux me brulant, me picotant et les larmes de tristesse, de dégout et de rage coulèrent sur mes joues. Soudain, il tourna la tête et me vit. Son visage remplis de joie ce contracta et il me lâcha pas du regard. Je tourna les talons et partie dans un petit trot gémissement de douleur et je le sentis me suivre, me poursuivre.J'accellera alors mon trot pour passer dans un petit galop qui me fessait un mal de chien puis il me rattrapa et me barra la route. Il s'éfforcait de m'expliquer mais je lui coupait la parole, je lui hurlait dessus. Il m'avait trahit. Abbandonner. Puis, comme à ma demande il me laissa passer à contre coeur et je pris mon chemin. Je sentis son regard remplis de tritesse et de désolement avec un mélange de regret... C'était trop tard...
Après une heure de trot pour fuir ce lâche et ce traitre, je repassa dans un pas doux et une nouvelle fois lent. J'avais plus que mal au ventre. J'avais envie de hurler. Je ne voulais plus de cet enfant mais c'était injuste de ma part de l'abbandonner. Epuisé, fatiguer, annéanti je me coucha sur le sol frais qui me donna un long frisson et fermis doucement les yeux et tout ce passa d'un seul coup, si violement... Je poussa un cris...
JE NE TE LAISSERAIS PAS. Mes yeux fermers ne restèrent pas longtemps fermer. D'un seul coup elles s'ouvrirent et je poussa un nouveau cris. Ma respiration s'accellera et les gouttes de sueurs devennerent plus rapide. Mon corps était tremper de sueur et la brise me fessait du courant d'air. J'avais terriblement chaud. Mes crins ce collait contre mon encolure, mes oreilles plaquer contre mon crâne comme appeuré. J'allais mettre bas, toute seule & en avance. Les cris, les gemisemments ce succderent les uns après les autres. J'éssayais de respirer doucement, prendre avec douceur chaque boucher d'air fraiche mais cela devenait impossible. Soudain, je crâcha sur le côté et quelque me déchira. Je gemissa une nouvelle fois et je sentis les oiseaux me regardait ainsi que tout les autres animaux. Je continuais de pousser de toute mes forces, il fallait que ce bébé naisse vivant et qui vive toute sa vie. Je poussa encore et encore puis soudain ça glissa d'un seul. Je repris mon souffle doucement et leva la tête pour regarder mon enfant qui était encore entourer de son placenta. Je l'attira vers moi et lécha doucement ses naseaux pour qui respire puis passa à tout son corps enlevant sa protection. Je frotta ma tête contre la sienne et il me regarda doucement pour donner un coup de tête en l'air. Amusé je lâcha un sourire et un petit rire.
« Mon enfant ! Ma fille. 
Tu t'appelle Savannah Child. » La jeune pouliche me regarda et je souria une nouvelle fois puis secoua mon encolure et me leva. Elle me regarda faire avec des grands yeux puis elle fit pareille mais tomba à terre. je l'aida à se relever et elle arriva à marcher avec moi avec beaucoup de difficulter. Puis après avoir bien travailler, je lui donna un coup de tête et elle alla prendre sa première tétine. Je la sentis tirer et je la fusilla du regard, alors elle compris que elle me fessait mal et tira beaucoup moins fort. Je lui apporta un sourire doux et brouta de l'herbe puis une fois terminer on ce mit en quête d'un abri pour dormir. Savannah ne disait rien et s'amuser avec tout ce qui bouge se foutant total de ce que je lui disais du danger. Elle revena vers moi au petit trot où elle ce gamella puis me rejoignis en souriant. Une fois une petite grotte trouver on y entra. Savannah ce coucha contre une paroie comme je lui avais demander de faire puis je me coucha à coté d'elle , la bloquant bien contre la paroie. J'avais trop peur qu'il lui arrive malheur. Elle me disa bonne nuit ce que je lui dit aussi et on s'endormit paisiblement...
1 ans plus tard. Savannah était devenu bien grande et ce comporter déjà comme une adolscente coruant après tout les garçons. J'étais désesperer de son comportement. Aujourd'hui je me retrouvais donc toute seule pendant que elle, elle barbodait avec des garçons dans l'eau ainsi que quelque filles qui lui tenait compagnie. Moi & certaines autres mères était là pour surveiller leur enfants. Je lâcha un petit soupire et regarda la mienne qui s'amuser comme une petite folle. Puis, les mères parla... parla de chose que je n'avais pas repensé, que j'avais éssayer d'oublier. Des pères. Je les dévisageas tour à tour puis me leva et partie dans un petit coin, repensant à ce moment tragique. Soudain, j'entendis une branche craquer et mes oreilles ce dréssèrent mais applatisa contre mon crâne quand mes yeux trouva un jeune léopart près à me tuer. Il était maigre et la faim gronder son ventre. Il sauta sur moi et je le botta, je me cabra rua ... Puis après un long combat il réussisa à m'abbatre. Mais lui aussi épuisé, il mourrut de ces blessures que j'avais infligés. L'herbe n'était plus verte mais rouge. Je n'étais pas encore morte mais je voyais déjà flou, soudain je vis Savannah s'arrêter quand elle me vit et courir vers moi puis commença à pleurer.
« Chut mon bébé, chut. Ne t'inquiète pas ma chérie, tout va aller bien.» Prononçais-je d'une voix tremblante et fatiguer. J'avala doucement ma salive et regarda ses yeux rouges, qui était noyer de larme.
« Maman... » Sa voix famillière était devenu beaucoup moins forte, je ne l'entendais plus, je n'entendais plus son souffle, je ne sentais plus sa peau , sa douceur , ses larmes et le toucher de la terre. Je mourrais. Mes yeux ne voyaient plus rien, mes paupières était lourde et ce fermir. Tout était noir, sombre & osbcur... Je t'aime Savannah...
TOUTE SEULE. Ses yeux clos, son souffle terminer, son battement de coeur régulier plus rien. Elle m'avait laisser. Pourquoi ? Pourquoi m'avoir abbandonner ? Tu m'avais promis. Les larmes coulèrent le long de mon visage, mes yeux était rouge et me piquer affreusement. Je donna un petit coup de tête sous ta tête mais celle-ci retomba à peine que je l'avais lever. Ta chaleur si chaude s'évaporer et ton corps devenait glacial. Je ne pouvais pas te prendre et te faire honneur, non je ne pouvais pas. Alors, je me releva et partie loins de ton corps. J'étais lâche. Je partie au galop, m'éloignant de cette endroit, les yeux me brulants, les larmes découlinant le long de mes joues. Tous me regardait m'enfuir sans savoir pourquoi. Je souffla doucement des naseaux et après de long kilomètre au galop, je m'arrêta dans un champ. je me laissa tomber par terre et laissa mon corps pleurer, évader tout ce chagrin...
1 ans plus tard. J'ai maintenant deux ans et je n'ai toujours pas oublier la mort de ma mère, comment oublier la mort d'un proche ? On ne peut pas. J'étais dans une prairie et on peut dire que j'avais total mal tourné après la mort de ma mère. Beaucoup d'étalons voulaient ma peau juste pour un petit truc qui pouvait oublier. Je brouttais l'herbe fraiche doucement quand soudain des bruits de sabots résonna. Mes oreilles ce dréssèrent et je regarda autour de moi intriguer puis je découvris le meneur de toute cette brute d'étalon qui me fessait peur. Mes oreilles ce couchèrent et je recula de quelque pas puis partie au galop dans l'autre sens. Ils me suivirent et ne contait pas abandonner jusqu'à que je sois asser éffrayer des mâles pour ne plus m'aviser de m'en approcher un seule. Je continuais mon galop, rassemblant mes foulés doucement et j'accellera encore ma course comme me l'avait toujours conseiller ma mère. Mais une impasse ce montra et je dû freiner de toute mes forces pour ne pas m'écrasser contre le mur en pierre. Je me retourna et regarda les mâles qui étaient en face de moi. Leur regard n'était guere simpathique. Soudain, ils ce jetèrent tous sur moi et me donna des terribles coups de sabots sur tout mon corps. Certains me mordir... Je poussa des hénnissements de douleur ainsi que des gemissements puis ils partirent, me laissant seule. J'étais coucher sur le sol, affaiblis et mon corps plein de bléssure et de marque de sabot. Je me leva avec difficulté et secoua ma robe. Ils avaient gagner. Les étalons me fessait maintenant peur... Plus que peur ...
ADIEUX. J'avais maintenant plus que peur de tout étalon et je ne voulais plus rester sur ces terres, j'avais trop peur qu'ils reviennent. Je secoua ma robe et me dirigea vers un coin d'eau ou je m'abreuva et où je lava avec douceur ma robe enlevant les tâches de sang. Je soufflas doucement des naseaux et je sortis de l'eau. Je secoua mon corps pour enlever les gouttes d'eau, gratta la terre pour ma mère et d'un seul coup je partis dans un petit galop candanceux. Je m'enfuyais loins de ces terres. Je n'avais que deux ans mais je savais que ma place n'était plus ici mais ailleurs. Mes dernieres pensés avant de quitter ces terres était ma mère, ma naissance... Des larmes ruissellèrent sur mes joues et j'accellera mon galop. 1 ans plus tard. J'avais maintenant trois ans et cela fessait un ans que je voyagais pour trouver où je ferais ma nouvelle vie loins des étalons. J'adobterais un poulain pour faire ma déscendance et connaître la joie des mamans, j'aurais pleins d'amies mais tant pis. Je ne connaitrais jamais l'amour cela n'était pas grave... Maintenant je viens d'atterir ici, sur les terres de Horse Moon où j'espère être à ma place.
FIN. 
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Ven 24 Juil - 11:18
. Et l'histoire est whaouuu. J'vais aller la lire =D. Re-bienvenue alors vu que toi aussi t'a l'air d'être une ancienne ; ) !
